نیروهای مسلح عراق

نیروی نظامی عراق-نیروی زرهی

نیروی نظامی عراق-نیروی زرهی

 

ارتش عراق در ابتدا بر اساس مدل بریتانیایی شکل گرفت .اما تحت تاثیر بسیار اتحاد شوروی وقت وبا توجه به تجاربی که در دوران جنگ ایران -عراق ۱۹۸۰-۱۹۸۸ بدست اوردند دچار تحولات شگرفی گردید .

در بین  سالهای ۱۹۸۰ تا ۱۹۹۰ صدام حسین تعداد نیروهای پیاده نظام عراق را از ۱۸۰۰۰۰ نفر به حدود ۱۰۰۰۰۰۰ نفر افزایش داد.

در سال ۱۹۸۷ میلادی با احتساب نیروهای احتیاط  وواحدهای شبه نظامی ،ارتش عراق به ۷۰۰۰۰۰/۱ افزایش یافت .که مشتمل بر ۷ بخش می گردید.

۳۰لشگر پیاده نظام ،۵ لشگر زرهی ،۳ لشگر مکانیزه .

در اوت سال ۱۹۹۰ این ارتش به حداکثر ۵۰ لشکر رسید.که شامل ۳۴ لشگر پیاده نظام ،۷لشگر زرهی بود.

این ارتش از لحاظ تعدادنیروها به جهارمین قدرت نظامی جهان بعد از چین ، اتحاد جماهیر شوروی وقت وایالات متحده امریکا تبدیل شده بود.

در اثر جنگ ایران وعراق ،رژیم بعثی عراق مهمترین بازار اسلحه وتجهیزات نظامی جهان گردید.

صدام حسین با خریدهای سنگین تسلیحاتی از اتحاد جماهیر شوروی وقت  وفرانسه ،از کشورهای یوگسلاوی ،المان فدرال وقت ،ایتالیا ،چین ،برزیل ، لهستان ،چک واسلواکی وقت ومصر نیز خرید های نظامی نمود.

صدام سیستمهای تسلیحات قراردادی مانند سیستم توپخانه تمام اتوماتیک (الفاو)وبرنامه تسلیحات کشتار دسته جمعی خود را توسعه داد .

نیروهای مسلح عراق اسراییل در زمان عملیات حمله (اپرا) برنامه نظامی عراق را کند نمود.

Historique[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Guerre anglo-irakienne, Guerre Iran-Irak, Guerre du Golfe (1990-1991), Insurrection en Irak (1991) et Guerre d’Irak.

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Pilotes de Mirage F1 irakiens en 1982.

 

 

Scène de capture de soldats irakiens par les Iraniens après la reprise de Khorramshahr en 1982.

 

 

AML-90 irakien capturé en 1991.

L’armée de terre irakienne naquit officiellement le ۲۱ juin ۱۹۲۱, lorsque fut formé le premier bataillon de volontaires. Elle était destinée à remplacer progressivement l’armée britannique qui rentrait au pays. À la fin de 1922, les forces irakiennes comptaient 4 ۰۰۰ volontaires répartis en trois bataillons, stationnés à Mosul, Bagdad et Hilla.

L’armée continua progressivement à croître. À la fin de l’année 1929, elle comptait dans ses rangs 10 ۴۴۶ hommes, dont 582 officiers. En 1934 fut instaurée la conscription militaire et en 1941, les effectifs des forces armées irakiennes s’élevaient à environ 41 ۰۰۰ hommes. Après la Seconde Guerre mondiale, la réduction des effectifs ramena ce chiffre à ۲۰ ۰۰۰, en comptant les unités de la Gendarmerie.

Une série de coups d’État, entre 1939 et 1968, eut pour conséquence la division et la réorganisation des forces armées irakiennes entre plusieurs factions politiques. Cependant, après la prise de pouvoir par le parti Baas en 1968, un contrôle unique de l’armée fut reformé et renforcé.

L’armée irakienne avait été à l’origine formée sur le modèle britannique. Mais l’influence grandissante de l’Union Soviétique, combinée à l’expérience acquise pendant la guerre Iran-Irak (۱۹۸۰-۱۹۸۸), modifia profondément ce modèle et les doctrines d’emploi.

Pendant la fin des années 1970 et la première moitié de la décennie suivante, les forces armées irakiennes connurent plusieurs bouleversements majeurs, et ce à tous les niveaux, dans les effectifs, les structures, l’approvisionnement, la hiérarchie, mais surtout dans le caractère politique.

Entre 1980 et 1990, Saddam Hussein fit passer les effectifs de l’armée de terre de 180 ۰۰۰ à environ un million d’hommes.

En 1987, en tenant compte des réservistes et des unités paramilitaires, l’Armée irakienne comptait 1,7 million d’hommes, sept corps d’armées, trente divisions d’infanterie, cinq divisions blindées et trois divisions mécanisées. En août 1990, elle atteignit un maximum avec cinquante divisions, dont 34 d’infanterie et 7 blindées. Elle était devenue, en termes d’effectifs, la quatrième puissance militaire du monde, après la Chine, l’Union Soviétique et les États-Unis.

Conséquence du conflit contre l’Iran, le régime baasiste irakien était devenu le plus important marché d’armes et d’équipements militaires du monde. En plus des fournitures massives d’armes en provenance d’Union Soviétique et de France, Saddam Hussein acheta à la Yougoslavie, l’Allemagne Fédérale, l’Italie, la Chine, le Brésil, la Pologne, la Tchécoslovaquie et l’Égypte. Il développa également des systèmes d’armes conventionnels tels le Système d’artillerie autopropulsé Al Faw et un programme d’armes de destruction massive. Israël, lors de l’opération Opéra ralentira le programme nucléaire.

Le Arms Control and Disarmament Agency (en) (ACDA), estimait en 1987 que l’Irak avait acheté pour un montant total de 24 milliards de dollars américains de matériel militaire, pour la seule période allant de 1981 à ۱۹۸۵.

Après sa désastreuse guerre du Golfe de 1991, l’armée irakienne réduisit drastiquement le nombre de divisions d’active. Elle passa de 5 divisions blindées, 3 divisions mécanisées et 20 divisions d’infanterie, en avril 1991, à ۳ divisions blindées, 3 divisions mécanisées et 11 divisions d’infanterie, à la fin de la même année.

Au déclenchement de l’invasion par les forces armées des États-Unis et celle de leurs alliés le 19 mars 2003 lors de l’Opération libération de l’Irak, l’armée irakienne comptait 4 “brigades” de la Garde Spéciale Républicaine (۳ “brigades” d’infanterie (légère) et 1 “brigade” blindée en combat rapproché, chacune militairement équivalente à un régiment de la Coalition), 6 “divisions” de la Garde Républicaine (۳ “divisions” blindées en combat rapproché[۴], ۱ “division” mécanisée en combat rapproché[۵] et 2 “divisions” d’infanterie motorisée[۶], chacune militairement équivalente à une brigade de même nature de la Coalition), et l’armée régulière irakienne comptaient, elle, 17 “divisions” (3 “divisions” blindées en combat rapproché[۷], ۳ “divisions” mécanisées en combat rapproché[۸], et 11 “divisions” d’infanterie (légère)[۹], chacune militairement équivalente à un régiment de même nature de la Coalition), le tout d’un volume total théorique de 400 ۰۰۰ hommes, en réalité très probablement inférieur à ۳۰۰ ۰۰۰ hommes. L’armée régulière irakienne fut, contrairement aux espoirs de la Coalition, combattive dans les rares occasions où elle eut à affronter des forces étrangères (voir Opération libération de l’Irak).

Les gardes républicaines[modifier | modifier le code]

La Garde républicaine spéciale (GRS) (Special Forces Brigade of the Presidential Palace) était plus une unité paramilitaire qu’une véritable force de combat, responsable de la protection rapprochée de Saddam Hussein, de la sécurité du Palais présidentiel en particulier, et plus largement de celle de Bagdad. À l’occasion, elle pouvait également servir comme force militaire pour réprimer n’importe quel coup d’État ou rébellion.

La GRS était la seule unité militaire autorisée à circuler dans la capitale. Appelée également la “Division dorée”, elle regroupait quatre brigades (dont une blindée), un commandement de la défense aérienne (AD-Com) et un commandement de deux régiments de chars T-72 (TK-Com) qui lui étaient propre.

Cette unité d’élite a été fondée début ۱۹۹۲ par Saddam Hussein. Bien que son nom entraîne parfois une certaine confusion avec la Garde républicaine, c’était une force totalement distincte et autonome, avec des fonctions très différentes.

En 2002, les effectifs de la GSR étaient estimées à ۱۲ ۰۰۰ hommes et 14 bataillons. Chacune des brigades comprenant en général 2 ۵۰۰ hommes[۱۰]

La garde républicaine (GR) est une formation d’élite. Elle rassemble les meilleures unités de l’Armée de terre irakienne, ayant reçu un meilleur entrainement et disposant d’un matériel de meilleur qualité que le reste de l’armée régulière.

Cette organisation était initialement destinée à la protection du régime baasiste. Elle a été créée au début de la guerre Iran-Irak et s’est considérablement renforcée pendant les deux dernières années du conflit (1986-1988) et représentant alors 20 % des effectifs de l’armée de terre[۱۱].

– corps GR Nord « Allah Akbar » [Al Rachid et Tikrit][۱۲] :

– corps GR Sud “Al Fateh Al Mubin” [Al Hafriah/Hafreia] :

Ordre de bataille sous le régime bassiste[modifier | modifier le code]

Armée de terre irakienne en 1980[modifier | modifier le code]

À l’ouverture des hostilités contre l’Iran et les combats contre l’armée iranienne et les milices du pays, l’armée irakienne était équipé d’armes essentiellement soviétiques et suivait les doctrines de l’armée soviétique.

۱e Corps d’Armée (secteur entre Rawanduz et Marivan (en))

  • ۷e Division d’Infanterie (QG Souleimaniye, Irak)
  • ۱۱e Division d’Infanterie (QG Suleimaniyeh, Irak) (-) (113e Brigade d’Infanterie)

۲e Corps d’Armée (secteur entre Qasr-e Chirin, Ilam et Mehran, blindés déployés entre Mehran et Dezful

  • ۶e Division blindée (QG Bakouba, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
  • ۹e Division blindée (QG Baqubah, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
  • ۱۰e Division blindée (QG Baqubah, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
  • ۲e Division d’Infanterie (QG Kirkouk, Irak)
  • ۴e Division d’Infanterie (QG Mossoul, Irak)
  • ۶e Division d’Infanterie (QG Baqubah, Irak)
  • ۸e Division d’Infanterie (QG Erbil, Irak)

۳e Corps d’Armée (QG al-Qurnah, Irak, secteur entre Dezful et Abadan)

  • ۳e Division blindée (QG Tikrit, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
  • ۱۰e Division blindée (QG Bagdad, Irak) 300 (T-62) (BMP-1)
  • ۱۲e Division blindée (QG Dahuk, Irak) 300 (T-62) (BMP-1) (en réserve)
  • ۱re Division mécanisée (QG Divaniyeh, Irak) 200 (T-55) (Véhicule de transport de troupes OT-64/BTR-50 tchèque)
  • ۵e Division mécanisée (QG Bassorah, Irak) 200 (T-55) (OT-64 APC/BTR-50 APC tchèque)
  • ۳۱e Brigade des forces spéciales indépendantes (-) (2 bataillons) (l’un rattaché à la 5e division mécanisée, l’autre à la 3e division blindée.
  • ۳۳e Brigade des forces spéciales indépendantes
  • ۱۰e Brigade blindée indépendante (T-72) (BMP-1)
  • ۱۲e Brigade blindée indépendante (T-72) (BMP-1)
  • ۱۱۳e Brigade d’infanterie (détachement de la 11e division d’infanterie)

Armée de terre en 2003[modifier | modifier le code]

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Dans les jours précédent l’invasion de 2003, l’armée de terre comprenait environ 300 ۰۰۰ militaires, organisé en 5 corps d’armée comprenant 11 divisions d’infanterie, 3 divisions mécanisées et 3 divisions blindées.

Char Type 69 irakien en flammes, 2 avril 2003

Plusieurs T-54, Type 59 ou Type 69 détruits en 2003 près de Diwaniyah

BMP-2 irakien détruit pendant l’offensive

Engin d’assistance blindé détruit

Quelques-uns des centaines de blindés irakiens, hors d’état de combattre faute de pièces de rechanges, dans le camp militaire de Taji (en)

Deux lances-missiles tactiques SRBM “sol-solLaith-90 (en), dérivé irakien du FROG-7 (en)[۲۱] soviétique, de 90 km de portée, mis en œuvre par la Garde Républicaine, capturés en 2003.

Forces armées irakiennes depuis 2003[modifier | modifier le code]

 

 

Militaires en patrouille en 2007

L’appellation courante aujourd’hui utilisée est Forces de sécurité irakiennes (FSI). Les FSI sont constituées de l’Armée irakienne, qui dépend du Ministère de la défense, et des forces qui dépendent du Ministère de l’intérieur. Celui-ci coordonne l’action de la Police irakienne, des unités chargées de la protection des dirigeants et du Département des Gardes-frontières. La Police est organisée au niveau national ; la Police nationale est une force paramilitaire dont le rôle est de combattre l’insurrection ; elle dépend alors directement du ministère mais, au niveau local, elle dépend alors des autorités locales.

Selon des chiffres officiels, 225 militaires irakiens ont péri dans les violences en 2009 et 429 en 2010[۲۲].

L’Armée irakienne, sous l’autorité du Ministère de la défense, est organisée de la façon suivante :

  • une Force aérienne (limitée)
  • une Marine militaire (limitée)
  • un Corps du génie
  • un Commandement du support
  • un Commandement de l’entraînement et de la doctrine
  • un Commandement des forces terrestres

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